Mais non nous ne rêvons pas de la chance,

Car elle nous poursuit cette malchance,

Et pendant toute une vie,

Au point d'oublier qu'on existe,

Et qu'on respire,

Par contre de honte tu transpires,

Mais ça ce n'est que un point de vu public,

Nous sommes de éternels insatisfaits,

D'un amour qui n'est pas parfait,

Surtout avec cette belle amitié,

Qui règne sur la terre entière ,

Soyons conscients que la paix revienne,

Et non la guerre et la haine,

Au sein d'une famille complète,

Qui se satisfait dans sa peine,

Et qui fait profiter son entourage,

Mais qu'à telle comme rage,

Un orage qui menace,

Des nuages dans le ciel et dans sa tête,

Car ils ne sont plus vraiment très clairs,

Dans les propos qui tiennent,

Enfin quoi qu'il advienne il ne faut pas les compromettre ,

Il y a un danger qui règne,

Mais il faut pouvoir l'écrire avec sa plume,

Et comme là elle est prise dans l'enclume,

À vous d'enlever cette amertume,

Car actuellement elle est de coutume,

Mais il faut prendre certaines mesures ,

Qui s'avèrent très compliquées,

Et certains rêves chapardent,

Ce que nous sommes vraiment,

Laissant une partie de nos espoirs en hardes,

Et nous abreuvant de serments tout simplement ,

Mais attendre sans cesse l'autre,

Est un terrible chemin,

Et un curieux destin,

Sachant que nous ne pourrions plus donner la main,

Et les désillusions se vautrent,

En attendant autre chose,

Mais nous exigeons toujours le meilleur,

Même s'il faut le chercher ailleurs,

Dans ce monde où se façonnent nos peurs,

Et nous laisse entrevoir quelques douleurs,

Peut-on encore exiger le bonheur ?

Où l'intégrisme claironne ,

Néanmoins en nous tout existe encore,

Même la cloche qui sonne ,

Alors à quoi bon d'aller courir ,

Si on ne veut partir ou en finir …………..